Mercredi, dans le cadre de l’exposition
« Anuki », 19 enfants, âgés de 6 à 10 ans, se sont retrouvés à la bibliothèque pour
fabriquer un capteur de rêves.
Il
semblerait que le capteur de rêves trouve son origine chez les indiens Ojibway
et Chippewa. Les indiens suspendaient un capteur de rêves au berceau des
enfants pour retenir dans ses fils tout ce qui pouvait être mauvais, tout comme
la toile de l'araignée retient tout ce qui entre en contact avec elle.
Ainsi,
le capteur de rêve est censé empêcher les mauvais
rêves d'envahir le sommeil de son détenteur. Agissant comme un filtre, il
conserve les belles images de la nuit et brûle les mauvaises aux premières
lueurs du jour.
Merci à Annie et Marie-Thé pour leur participation et plein de beaux rêves à tous en perspective !
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