Harold
Fry est bouleversé par la lettre qu’il reçoit de Queenie Hennessy, une ancienne
amie qui lui annonce qu’elle va mourir. Alors que sa femme, Maureen, s’affaire
à l’étage, indifférente à ce qui peut bien arriver à son mari, Harold quitte la
maison pour poster sa réponse. Mais il passe devant la boîte aux lettres sans
s’arrêter, continue jusqu’au bureau de poste, sort de la ville et part durant
quatre-vingt-sept jours, parcourant plus de mille kilomètres à pied, du sud de
l’Angleterre à la frontière écossaise.
Car tout ce qu’Harold sait, c’est qu’il doit continuer à marcher.
Car tout ce qu’Harold sait, c’est qu’il doit continuer à marcher.
Coup de
cœur d’une lectrice, touchée par cette histoire originale et poignante. Ce
n’est pas tant le voyage un peu folklorique de Harold qui est intéressant mais
son voyage intérieur. Le vrai sujet du roman est l’usure, usure de l’amour
entre Harold et Maureen son épouse, usure de la foi en la vie pour Harold. Et
alors le désir de faire quelque chose de fou, et d’y croire jusqu’au bout sonne
comme une renaissance. Une lectrice n’a pas aimé les passages
« médiatiques » et la chute de l’histoire. Pour les autres lecteurs,
le livre est original et agréable à lire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire